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Enfin une lueur d’espoir dans la lutte contre Ebola. La Guinée vient de lancer ce samedi, dans la commune de Ratoma à Conakry, un essai vaccinal suite à une autorisation donnée par les autorités nationales compétentes. Selon un communiqué de l’Oms, une dizaine de hauts responsables se sont portés volontaires et ont été vaccinés devant un large public «très enthousiaste».
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Depuis l’annonce du chronogramme, l’atmosphère est devenue électrique dans le pays. L’opposition guinéenne ne décolère pas. Les leaders de l’opposition montent au créneau, les uns après les autres, pour dénoncer le coup de force du régime d’Alpha Condé. L’opposition et le pouvoir se regardent désormais en chiens de faïence.
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Après le recrutement dans une véritable opacité du nouvel opérateur technique des futures élections en République de Guinée, de la société de sécurité numérique française Gémalto, qui d'ailleurs peine à avoir bonne presse à travers des plaintes déposées par la société civile Gabonaise et une poule d'avocats français, pour corruption de fonctionnaires internationales. l'Opposition dite républicaine, est restée bouche cousue sans un "Niet".
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Après les politiques, c’est autour de la CENI de se fissurer à propos du chronogramme des élections. Depuis l’annonce de ce fameux chronogramme, c’est un vent de souffre qui déferle sur le paysage politique. Annoncé depuis la capitale Hexagonale lors de son dernier séjour, le président de la CENI a suivi à la lettre les dires de son patron Alpha Condé.
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Va-t-il encore pleuvoir sur Conakry ? Une question d'autant plus légitime que depuis l’annonce de la date des élections, le climat socio politique en Guinée est tendu. Pouvoir et opposition, en effet, sont à couteaux tirés. Objet de la dispute : l’opposition manifeste sa désapprobation et dénonce des irrégularités dans le processus électoral car, selon elle, la priorité devrait être à l’organisation des élections locales avant celle de la présidentielle. Elle n’entend pas du tout fléchir. Le pouvoir, quant à lui, penche plutôt pour un calendrier contraire. Comme on le constate donc, chaque camp travaille à tirer la couverture à lui.
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