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Jusqu'à présent, il était seulement connu sous le nom du «Tireur». L'homme qui a tué Oussama Ben Laden devait révéler son identité la semaine prochaine sur Fox News. Mais, sans attendre la diffusion du documentaire très attendu, le site spécialisé sur les questions militaires Sofrep a démasqué l'homme en question. Cet ex-soldat s'appelle Robert O'Neill. Âgé de 38 ans, il officie à présent en tant que conférencier à Washington. Le Daily Mail a obtenu confirmation auprès du père de l'intéressé. L'an passé, le militaire avait déjà témoigné dans le magazine Esquire, sous couvert d'anonymat. Il expliquait être déçu par le sort réservé aux vétérans de l'armée. Lui est parti sans retraite ni protection sociale, après 16 années de bons et loyaux services. Ce serait ce même sentiment qui le pousse aujourd'hui à sortir de l'anonymat.
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Le président de l’UFR occupe le devant de la scène médiatique ces derniers temps. Après avoir été l’initiateur de la commission parlementaire sur l’Ebola, même s’il a été censuré par les journalistes alimentaires de la RTG, l’enfant de Kakandé continue de pourfendre le régime dictatorial d’Alpha Condé.
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C’est une fierté pour tout Chef d’Etat d’être accueilli en grande pompe par les siens sur le territoire d’autrui. Si pour sa première visite, ce fut l’apothéose, celle effectuée le vendredi 31 Octobre par IBK à Conakry fut une humiliation. Sur les milliers de nos compatriotes vivant à Conakry, ils n’étaient qu’une vingtaine à faire le déplacement pour souhaiter la bienvenue au président. Quelle humiliation ! Et pourquoi donc ?
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"Les joueurs Africains (Noirs) ne sont pas chers, sont puissants mais pas techniques, ni intelligents, ni disciplinés comme les Nordiques (Blancs)" selon Willy Sagnol l'ancien footballeur international et entraîneur de l'équipe de France des Espoirs et actuel entraîneur de Bordeaux dans une interview accordée au journal "Sud Ouest" du 04/11/2014.
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Il y a moins d’une semaine, Stéphane Mantion était dans le bureau du président guinéen Alpha Condé. Le directeur général de la Croix-Rouge lui présentait en privé un exemplaire de test de dépistage rapide du virus Ebola. Même s’il ne l’a pas expérimenté lui-même, pour des raisons de sécurité, le chef d'Etat s’est dit emballé par ces bâtonnets similaires à des tests de grossesse. «Il a validé le produit car il a été impressionné par sa facilité d’utilisation», souligne le représentant de l’organisation internationale, soucieux de le distribuer au plus vite dans un pays où Ebola a déjà tué plus de 1.000 personnes.