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François Hollande a pris Fanta Camara dans ses bras, loin des caméras et des journalistes. Ce baiser aurait pourtant pu faire le tour du monde. François Hollande est le premier chef d’Etat du monde occidental à se rendre dans un pays touché par Ebola. Il est, mieux encore, le premier chef d’Etat à oser embrasser une femme que ses concitoyens traitent en paria, parce qu’en mars dernier elle était recensée parmi les malades. Le 6?avril?2014, pourtant, douze?jours après le diagnostic, Fanta a rejoint le camp des vivants, munie d’un certificat de guérison. Ça n’a pas suffi. Avec ses 1?300?morts en Guinée depuis le début de l’épidémie, ses 5?500?morts dans toute l’Afrique et son taux de guérison de moins de 50?%, Ebola continue de faire peur.
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Une cérémonie de pose de première pierre était prévue hier matin à Yimbaya bougie dans la commune de Matoto en banlieue de la capitale. Cette pose de première pierre devait être présidée par le chef de l’Etat, Professeur Alpha Condé. C’est un centre de mise en quarantaine des malades d’Ebola qui doit être construit à cet endroit. Mais la cérémonie a vite tourné court. Les citoyens ont chassé par des huées les autorités de la ville de Conakry, des responsables de Médecins Sans Frontières (MSF) et des diplomates accrédités en Guinée présent à la rencontre.
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Le ministre sénégalais des Affaires étrangères était face à la presse hier. Occasion qu’il n’a pas ratée pour se prononcer sur la mesure de fermeture des frontières de mise avec la République de Guinée Conakry.
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La visite du président français François Hollande à Conaky a été pour beaucoup dans la présence de Alpha Condé à Dakar. D'ailleurs, dans le cabinet le plus restreint du Président guinéen, on souffle que tout le gouvernement s'était opposé au déplacement de Condé à Dakar, à l'exception de deux ministres dont celui des Affaires étrangères. Entre le vendredi 27 novembre, jour de son arrivée à Dakar et le dimanche 29, le chef d'Etat guinéen, Alpha Condé, a connu les deux extrémités.
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C’est au micros de notre confrère Mandian Sidibé, en exil forcé à Dakar, que le patron de l’UFDG a livré des menaces et des mises en gardes à l’endroit du néo-dictateur Alpha Condé, si dernier s’obstine à ne pas organiser les présidentielles dans les délais constitutionnels. Ménaces que nous livrons en intégralité. A noter que cette depêche a été lue sur la page facebook de notre confrère.
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