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Depuis l’annonce officielle de l’apparition de l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola en Guinée, le 21 mars dernier, on dénombre à ce jour, 729 morts en Afrique de l’Ouest et 1300 morts personnes contaminées. La propagation de l’épidémie dans la région inquiète. Des mesures drastiques sont prises pour limiter la propagation. En Sierra Leone, le Président Ernest Baï Koroma a décrété l’état d’urgence, interdit les rassemblements publics et annulé son voyage pour le sommet Afrique-États-Unis, prévu le 5 et le 6 août. Au Liberia, après l’interdiction des matchs de football, la fermeture d’une partie des frontières, la dernière mesure prise porte sur la fermeture des écoles jusqu’à nouvel ordre. L’OMS, ses partenaires et d’autres, multiplient les actions pour la mise en place à Conakry du Centre de coordination sous-régional pour la flambée de maladie à virus Ebola (SEOCC). Juste pour accélérer la risposte contre l’épidémie.
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Ce 31 juillet, à la maison commune des journalistes guinéens, l’opposition républicaine a tenu sa conférence de presse annoncée en fin de semaine dernière. Une conférence qui se situe 48 heures après le deuil qui a frappé la Guinée suite à une bousculade qui a fait 34 morts, selon un bilan officiel, survenue à la plage Rogbané du quartier Taouyah, dans la commune de Ratoma, banlieue nord e Conakry.
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C'est "un investissement de plus de 15 ans (qui part) en fumée", affirme à l'AFP entre deux sanglots Aminata Camara, qui gérait une petite boutique alimentaire sur ce site habituellement fréquenté, dans la commune de Ratoma (banlieue nord de Conakry).
Guinée: après la cohue meurtrière, la plage de Rogbanè dévastée
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Plus de 23 morts, dont 13 filles, et 5 blessés (survivants), c'est le triste bilan d'une violente bousculade survenue mardi aux environs de 21 heures GMT sur une plage de Conakry, a-t-on appris de sources médicales.
Selon un responsables du service des urgences de l'hôpital national Donka où les corps sont acheminés actuellement, le drame a été causé par un débordement et une bousculade violente suivis d'un mouvement de panique générale au sein des milliers de jeunes venus assister à un spectacle musical organisé à l'occasion de la fête de l'Aïd.
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« J’adresse mes condoléances aux familles des victimes qui ont perdu les leurs dans ce drame qui frappe encore notre pays. Je souhaite que des enquêtes sérieuses soient menées pour situer les responsabilités et prendre les sanctions. Mais surtout définir des politiques de gestion de ces places publiques qui éprouvent nos jeunes, pour qu’on puisse prévenir ces genres d’évènement.