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Fièvre hémorragique virale à Ebola - Un 27ème agent du corps médical guinéen est décédé à la suite de la fièvre hémorragique virale à Ebola, a appris samedi la PANA de source médicale, proche de l’hôpital national Donka de la capitale, Conakry, où avait été admis le malade pendant la période d’incubation de 21 jours.
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La fièvre hémorragique Ebola qui sévit dans notre sous-région a projeté tragiquement la Guinée au-devant de l'actualité internationale. Cette épidémie très meurtrière s'est développée aussi bien en Guinée que dans les autres pays du fait de l’irresponsabilité et de la mal-gouvernance endémique des dirigeants de Conakry. Le nombre de morts voisine 1500 et l'OMS pronostique une catastrophe planétaire où plus de 20 mille personnes seront infectées par le virus dans quelques semaines. Le gouvernement guinéen doit rendre compte à la communauté nationale et internationale de son manquement grave à sa responsabilité première « assurer la protection de ses citoyens ». Ailleurs pour moins que cela, des dirigeants de grande envergure sont traînés devant les tribunaux et déchus de leur fonction (par exemple: le sang contaminé en France).
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Entre la Guinée-Conakry et le Sénégal, l’Histoire ne se répète pas ; mais elle bégaie de façon étrange. Hier, vu de Conakry avec les lunettes idéologiques de Sékou Touré, le Sénégal de Léopold Sédar Senghor était la tête de pont africaine du complot impérialiste contre la (tragique) Révolution guinéenne. Aujourd’hui, vu de Dakar avec les œillères de la suspicion teintée d’affolement – la panique étant l’antichambre de la folie et de la xénophobie – la Guinée est l’épicentre diffuseur du virus ambulant Ebola vers le Sénégal et, aussi, le pays émetteur de capitaux baladeurs, douteux et dangereux. Bref, on est en face de deux peuples soudés mais étonnamment gouvernés par deux Etats éloignés. Et abonnés à l’incompréhension mutuellement larvée.
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Le virus a déjà tué plus de 1.500 personnes en Afrique de l'Ouest, depuis l'apparition de l'épidémie en mars dernier. En Guinée, on a connu deux fois plus de cas au mois d'août. Reportage à Conakry, la capitale, où MSF lutte au quotidien.
C'est peu de dire que les secours sont inquiets sur place. Ils voient au quotidien l'épidémie se propager, et ne parviennent pour l'instant pas à l'endiguer totalement.
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Bientôt cinq ans après les faits, de nombreux Guinéens restent traumatisés par le Massacre du 28?septembre 2009. Ce jour-là, plus de 150 personnes sont tuées, des centaines d’autres blessées et des dizaines de femmes violées. Aujourd’hui, la justice a encore beaucoup à faire. Témoignage.
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