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Le dialogue politique en Guinée rassemblant depuis la semaine dernière majorité, opposition et gouvernement a été suspendu vendredi en raison de nouveaux désaccords notamment sur la date des élections locales et la réforme de la commission électorale, selon les différents camps.
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Les opérations de révision des listes électorales qui ont été réalisées du 24 avril dernier au 20 juin au niveau national, et dans les chancelleries guinéennes basées à l'étranger, ont permis l'enrôlement de 1 300 000 personnes, soit 33% du nombre d'électeurs figurant sur le fichier électoral, a-t-on appris de source gouvernementale.
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Le dialogue politique inter-guinéen est de nouveau dans l'impasse. C'est du moins ce que nous avons vécu ce 26 juin au Palais du peuple de Conakry, cadre dudit dialogue. Après leur désaccord sur les délégations spéciales (illégalement nommées par Alpha Condé en 2011), sur le calendrier électoral par rapport aux élections communales et communautaires, sur le fichier électoral, les principaux acteurs au dialogue (mouvance présidentielle et opposition) ont laissé éclater leur divergence ce vendredi, autour de "la refonte" de la Commission électorale nationale indépendante, CENI. Après plusieurs heures de discussions sur la question, ils se sont quittés à queue de poisson.
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Comme toujours des publicistes (au sens vieux du terme) et des moralistes en miniature font florès en Guinée et ailleurs sur le sujet qu'ils appellent une alliance contre nature. A leurs yeux, est contre nature, tout ce qui ne peut pas leur grattouiller le bas ventre. Pas plus que ça. A creuser un peu, ces moralistes qui ne croient en aucune morale, ne savent pas ce qu'est une éthique dans une vie d'homme mais tentent d'en parler quand même en se répandant périodiquement comme des tisserins pour faire entendre ce qu'ils imaginent être un message ; à tous ceux qui se jugent voltigeurs de la politique guinéenne, on a envie de leur dire qu'ils ne sont pas crédibles. Pas crédibles ?... Ils s'en foutent car ce mot ne chatouille guère leur morale, ce qui compte c'est qu'ils se considèrent comme des messagers. Messagers qui sont, à vrai dire, des marchands de pacotille à clientèles de pacotille. De quoi s'agit-il, ici ?
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A quatre jours d'élections législatives, le deuxième vice-président du Burundi a fui le pays, appelant le président Pierre Nkurunziza à renoncer à briguer un troisième mandat alors que les violences repartent de plus belle à Bujumbura.