sidya_toure_paris

Il ne restait plus que ça après les sauts d’humeur et les déclarations sournoises tendant à démontrer une consonance vindicative au discours de Cellou Dalein Diallo à Chicago.

Et puis, cette envolée éphémère des porte-voix en mal de reconnaissance s’égosillant autour d’une candidature unique fomentée à dessein. Oui, donc! Ça passe ou casse quand on invite un éléphant à faire des déhanchements dans un magasin de porcelaines comme ce mardi 18 novembre au siège administratif de la principale force politique du pays. On y a vu foule et curieux filmer la scène.

Bien que par après, retournement de situation oblige, on nous a fait croire le contraire de la réalité qui se lisait pourtant sur les visages. Oui, nous l’avons appris aussi, «avec étonnement et surprise» que Sidya Touré ait pu se dérober de la réunion de l’opposition pour assister aux «funérailles de la petite fille d’Elhadj Dansoko, DAAF de la Sofig, décédée lors d’un incendie dans la nuit du lundi 17 novembre dans le quartier Hamdalaye». Oui, c’est bien cela le «devoir moral et social» d’un leader politique qui prime. On le sait et on fait avec dans ce climat d’humeur et de quiproquos de mauvais aloi.

 

Source : le populaire